Tous les ans, des dizaines de sociétés pratiquent la fusion-acquisition. Quelques-unes optent pour l’introduction en bourse tandis que certaines se réunissent pour placer des capitaux sur un nouveau marché dit joint-venture. Dans tous ces secteurs modernes de transaction financière de haut de bilan, un professionnel appelé conseiller en fusion-acquisition se charge des rouages.

Mission du conseiller

Le conseiller a pour obligation d’assister les sociétés à gravir ces phases primordiales. De ce fait, il se spécialise en ingénierie financière. Féru en droit boursier, il connaît les lois afférentes à ce genre de transaction délicate ainsi qu’aux déductions fiscales. Il doit également avoir des connaissances financières élaborées qu’une industrie ne peut disposer en interne. Le conseiller organise les négoces entre chaque collaborateur afin d’effectuer avec eux l’action financière la plus avantageuse et convenable pour tous. Il devra jongler entre les hypersensibilités de quelques-uns et la valeur affective des autres. Par exemple, il devra expliquer à un gérant d’une PME que sa firme ne vaut pas le montant sentimental qu’il mise. Ces opérations le conduisent à beaucoup voyager, à être disponible de jour comme de nuit et à parler l’anglais ainsi que d’autres langues courantes. Quand ses offres sont validées, le conseiller en fusion-acquisition collabore avec des juristes, des économistes et d’autres spécialistes.

Côté juridique

Une fois l’affaire en place, le conseiller en fusion-acquisition doit se conformer aux diverses formalités juridique et au programme présenté au pouvoir des marchés financiers en cas d’adhésion en bourse, entre autres. Le spécialiste se trouve face à une variété de structures et sa mission devient plus ou moins importante. Les banques de placements sont indubitablement les patrons. La banque s‘occupe des sociétés et le conseiller y situera spontanément sa fonction. Dans les établissements bancaires classiques, il pourra répondre constamment aux exigences des sociétés mais l’ordre d’importance semble divergent. Des petites compagnies expérimentées peuvent également le recruter.

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